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Mauvaise nouvelle pour le PSG avant l’Inter

Mauvaise nouvelle pour le PSG avant l’Inter
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Adversaire du PSG en finale de la Ligue des champions, l’Inter Milan excelle dans un domaine que les Parisiens vont devoir particulièrement travailler…
Inter Milan-PSG, telle sera donc l’affiche de la finale de la Ligue des champions. Au lendemain de l’incroyable qualification de l’Inter Milan face au Barça, le PSG a à son tour décroché son billet pour Munich, théâtre de la finale, le 31 mai prochain. Déjà vainqueur 1-0 à l’Emirates Stadium, le club de la capitale a remis ça au Parc des Princes face à Arsenal et confirmé son aisance face aux pensionnaires de Premier League.

En finale, c’est donc un géant du football italien que le PSG devra faire tomber pour décrocher la première Ligue des champions de son histoire et la tâche sera inévitablement ardue. « Pour moi, Paris n'est pas favori. Penser une seule seconde que tu peux être favori face à une équipe italienne, c'est que tu ne comprends rien au football », a d’ailleurs assuré Christophe Dugarry au micro de RMC.

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Moins définitif que son ancien coéquipier chez les Bleus et à Bordeaux, Bixente Lizarazu se veut également méfiant. La faute notamment à la réussite des Interistes sur les coups de pied arrêtés, l’un des points faibles des Parisiens. « L’Inter est la meilleure équipe sur les coups de pied arrêtés offensifs. Et ça, c'est un peu une faiblesse du Paris Saint-Germain ces derniers temps, donc il faut qu'ils bossent là-dessus », a-t-il confié au micro de FranceInfo.

Le PSG piégé par sa jeunesse ?


L’Inter Milan peut également se prévaloir de l’expérience de la finale de la Ligue des champions disputée il y a deux ans contre Manchester City. Un avantage eu égard à l’importance de la « gestion émotionnelle d'une finale ». « Paris a joué une finale contre le Bayern, il y a cinq ans, mais ce n'était pas le même groupe. Ce groupe-là est très jeune, il n'a pas vécu cette pression-là, et elle n'est pas facile. Donc, je pense que ça va être un gros travail psychologique pour Enrique », a-t-il souligné.

Pour autant, le Basque n’a pas manqué de souligner le parcours réalisé par le PSG. « Paris est capable d'être flamboyant, notamment quand ils contrôlent bien le jeu, mais Paris est capable aussi de souffrir et il faut toutes ces qualités pour aller loin », a-t-il expliqué, ajoutant : « Paris a éliminé Liverpool, qui était le grand favori de cette compétition. Je pense que ça leur a donné confiance. Ensuite, Paris a fait évoluer son jeu et sait alterner la possession et la transition, les contre-attaques. » 
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